10 septembre – Palerme

10 septembre – Palerme

Après avoir traversé des banlieues plus ou moins pauvres et tout aussi sales (c’est l’Italie du sud…) nous entrons par la porte principale qui arbore l’aigle, emblème de Palerme, symbole de liberté.
La ville est construite sur 4 fleuves, du coup il n’y a pas de metro.

Tout près de la porte s’élève le palais royal. Il abrite le 1er parlement du monde créé en 1130.

Plongeons dans le moyen âge de la sicile. Les plus grandes connaissances du monde se sont développées en Sicile et ont été conservées à Palerme par frederic 2, petit fils du fondateur normand. (nord man, l’homme du nord, le français).

Les monuments ont été construits par les arabes qui connaissaient l’architecture et adapté par les diverses conquérants suivants. Du coup on trouve des églises en forme de mosquées. La Sicile a été sous 13 dominations différentes. Il est plus rapide de dire qui n’est pas venu !

En prenant la rue principale qui part de la porte et descend jusqu’à la mer, nous arrivons devant la cathédrale qui abrite les reliques de Sainte Rosalie patronne de Palerme. Mosquée déguisée en église. Une maxime gravée sur cette église: opebus credite (si je me souviens bien) qui veut dire: ce que vous faites est plus important que ce que vous dites. Nos ancêtres avaient déjà tout compris, et notre époque l’oublie trop souvent… Dans ce style, les policiers sans masques, parlent entre eux où aux passants dans les voitures. Masque obligatoire ?

Poursuivons le corso principale avec un arrêt pour déguster un jus d’oranges et grenades pressées. On arrive à la place di quatro canti, quatre quartiers ou place du soleil. Croisement de routes avec des statues et une fontaine dans chaque coin. Elles représentent les 4 saisons, les 4 fleuves (par les 4 fontainesl, les 4 saints, dont sainte Rosalie.

Partant à droite, un peu plus loin, la fontaine du prestoria surtout appelée place de la honte. Parce qu’elle est entourée de statues nues alors qu’elle se trouve devant un couvent: que vergogna, quelle honte ! Ou aussi parce que tant d’argent dépensé alors que Palerme en avait besoin.

Derrière, plusieurs eglises, couvents avec des coupoles arabes.

Quittons les monuments pour découvrir la Palerme d’aujourd’hui. Des petites ruelles tortueuses qui débouchent sur des placettes où les habitants se parlent de balcon à balcon ou de balcon à la rue ou la place. Des échoppes dans les ruelles, des magasins de souvenir et des marchés. Beaucoup de mouvement, de vie, de voies. Les murs jaunâtres, les volets verts, la saleté par terre, partout.

Quittons ce quartier pour nous diriger vers le théâtre massimo. Comme son nom l’indique, le plus grand, le premier. En réalité le 3ème d’europe, mais le premier climatisé dans les années 1800 par un système de courants d’air. Magnique batiment, construit après avoir rasé tout le quartier !

Il est temps de repartir de Palerme et de rentrer à l’hôtel, profiter de la plage, de la mer et des terrasses pour y prendre un petit verre.



9 septembre – Les iles éoliennes.

9 septembre – Les iles éoliennes.

Lever de soleil ce matin depuis l’hôtel. Ces vacances me font lever plus tôt que le travail ! Mais quel beau spectacle. Rare pour moi qui suit une lève tard.

Après une journée route hier, se sera une journée bateau aujourd’hui.

Les iles sont des volcans soudés entre eux. Les
Iles eoliennes, ont été créée par des grecs. Ils produisaient des câpres. Chez nous, on mange le bouton. Ici ils mangent aussi le fruit (qui pousse après la fleur si on laisse eclore le bouton) et qui ressemble à un concombre avec une tige. En salade, ou au vinaigre. Plus délicat que le bouton.

L’homme des cavernes, lui, faisait des couteaux avec de la lave. Il faut 4 à 5 ans pour que la lave refroidisse. Si elle refroidit trop vite, les gaz sortent, la pierre devient blanche: c’est la pierre ponce. Sur l’ile, elle est protégée, on ne peut plus l’extraire. 1/4 de l’ile est en pierre ponce. Le reste en oxydiène, noire, coupante. On en fait des couteaux, des pointes de lances.

A Milazzo, nous embarquons dans une Navette vers Lipari, 1ère des îles eoliennes. 1h de traversée . Il fait très chaud déjà, 26 degrés. Pourtant il est à peine 9h. On se met à l’ombre à l’arrière du bateau. Je me suis mise le nez au vent pour regarder l’ile qui se dessine au loin. C’est reposant, le tangage du bateau, le bruit de l’eau et de l’écume et aussi celui du moteur… . Le ciel la mer la terre au loin. Je médite. Sur ma vie… Lipari la plus grande des iles éoliennes, la plus habitée et certainement la plus jolie.

On croise à notre droite l’île de Stromboli dans la brume. C’est une des plus petites iles, on ne peut pas y aller car le volcan est toujours actif. A gauche en avant, Vulcano, nous irons après. Tout au fond, la dernière des éoliennes, Saline.

A ce qu’il paraît, des policiers se déguisent en touristes à l’arrivée des bateaux pour prendre des photos témoins des personnes sans masque. Et sans masque 400e d’amende. Ça ne lésine pas en Italie… On n’a rien remarqué et vu beaucoup de personnes sans masque….

Depuis le bateau on aperçoit la coulée blanche de pierre ponce.
La navette nous débarque à Lipari, sur la plage où était arrivé Ulysse.

Lipari se visite en peu de temps, comme toutes les eoliennes elle est petite et se concentre autour du port. Il y a une belle citadelle en haut avec de grandes terrasses panoramiques.

On se faufile un peu dans les ruelles pour éviter la voie centrale et ses boutiques de souvenirs. Par erreur, je voulais un granité citron, j’essaie la spécialité du coin, sorte de jus de citron salé. Pouah, je n’y reviendrai pas !

Après une heure de visite et pas mal de photos, retour sur le bateau, direction Vulcano. 10mn entre les 2 îles.

Vulcano est formée par 3 volcan. Dont un qui s’appelle la forge. L’histoire raconte que lorsque le forgeron tape sa forge, on voit de loin les étincelles. L’histoire ne dit pas qu’elle pièce a été usinée ! Et ne dit pas non plus l’odeur nauséabonde de soufre qui se dégage des collines. Là, le masque est bienvenue, plus un gilet devant le nez ! À l’endroit où l’odeur est presque la plus forte, il y a une pizzeria….. Seuls les autochtones doivent avoir le cœur d’y manger !

De nôtre côté, nous mangeons plus loin de cette odeur. Un plat de pâtes typiques de l’île : câpres et olives. Je déteste les câpres et pourtant ici, je trouve délicieuses leurs toutes petites câpres, à peine plus grosses que des lentilles.

On vient à Vulcano essentiellement pour ses bains de boue sulfureuse (fermés en ce moment) et ses eaux bouillonnantes. Dans l’eau de mer s’échappent ça et là des chapelets de petites bulles. Cela crée des courants d’eaux chaudes. Au milieu de l’eau, il y a même un gros jet d’eau chaude qui remonte à la surface. Comme un jacuzzi naturel. L’eau est très soufrée, vert pâle à certains endroits.

Je décide de prendre un bain pour profiter de cette curiosité. Au moment de mettre mon maillot de bain, je m’aperçois que j’ai pris 2 bas de maillot, pas de haut !!! et pas de topless en Sicile (en tout cas, pas vu) qu’à cela ne tienne, je me baigne avec mon tee shirt. Juste qu’à la sortie de l’eau, je fais un peu miss tee shirt mouillé !!! Voilà donc une baignade mémorable en tout point de vue !

Avant de repartir vers Milazzo, le bateau effectue un tour de l’île pour nous montrer quelques beautés de la nature. La Grotte de pégase (j’ai eu beau regarder je n’ai pas vu le cheval, encore moins les ailes !), bassins, falaises, rocher du lion (là j’ai bien vu le lion !) , colonne.

On peut même voir les niveaux de roches soulevées par les poussées suivantes.

Encore une journée bien remplie…

8 septembre – L’Etna – Taormine

8 septembre – L’Etna – Taormine

L’excursion du jour nous conduit vers l’Etna. Le temps d’approche est assez long car nous sommes quasiment à l’opposé de l’île. Du temps pour notre guide, Mario, pour nous raconter des anecdotes sur la sicile. A savoir, quelques morceaux choisis: le nom de la déesse de la mer et de la terre, Desmeter, que les citronniers ici donnent 4 frutaisons, la dernière ne murissant pas fait ce que l’on appelle lime. Il y a de très nombreuses variétés de citron, l’une d’entre elle donne des citrons très gros, comme des melons allongés. D’autres sont sucrés ou acides ou amers, il y en a pour toutes les recettes. Dont les spaghetti aux citrons qui sont à tomber (les filles) aux dires de Mario !

On retraverse les champs de pistachiers, qui sont en réalité des orangers de petite taille !

Est-ce que vous saviez que l’on trouve les 3 volcans vesuve, stromboli et etna sur le même méridien ? Ce méridien, 25ème, grindwitch, je vérifierai ! Est aussi appelé faille volcanique, ou tunnel de lave.

L’etna ne fait pas partie de la Sicile. Non, non. La sicile faisait un golfe autrefois, et soudainement, du fond des mers a jailli le volcan. Et d’éruptions en éruptions, les coulées se sont agglutinées aux terres de la sicile. Il n’y a pas de terre, seulement de la lave. Maintenant, c’est la partie la plus habitée de l’île car la plus fertile.

Nous sommes partis très tôt ce matin car dès midi le volcan se couvre et adieu les photos. Pour notre venue, il est déjà couvert…. Pas d’image d’Épinal pour nous ! Heureusement il est très haut, 3300m, bien au dessus des nuages. Depuis le parking à 1900m, nous prenons le téléphérique puis une navette qui nous emmènent à 3000m. De là, on peut admirer une des 4 bouches de l’etna, toujours en activité. Des fumeroles blanches de vapeur d’eau 85% et jaunâtre de soufre. Légèrement plus bas, la petite bouche de l’éruption de cet été fume encore. Si le temps est beau (gloups) on peut voir la vallée en bas et la mer….😱.

Après cette première partie de journée, cap sur Taormine. En descendant la route de l’etna nous rencontrons la pluie. Les nuages s’accrochent à lui comme pour rivaliser avec son panache de fumeroles !

Bien heuresement il fait très beau à Taormine, et même très chaud. Son nom lui vient de sa situation géographique entre 2 collines qui forment comme 2 cornes de taureaux. La ville surplombe la mer de 200m. Depuis la place principale, il y a une vue magnifique. La rue principale est bordée de magasins de luxe. Et aussi d’un bon glacier ! De chaque côté partent des vicoli, petites ruelles ombragées. L’une d’elle conduit au jardin de la villa municipale. Un havre de fraîcheur, un panorama sur la mer et l’anse de Taormine. Ça me rappelle la vue sur la promenade des anglais à nice, vu du chateau. Sauf qu’en bas la promenade c’est la voie de chemin de fer ! Dans Taormine, le plus connu est le théâtre antique qui offre cette même vue depuis le haut de ses gradins. Mais, nous, pas envie de le faire ! Entrée payante, beaucoup de monde, peu de chose à voir… Et on a vu celui de Pollina, alors !

La journée est passée, la route est longue pour rentrer. Le retour se fera par le haut pour passer par Messine (sans pêcher la sardine) et le détroit, 3km de large, qui sépare la Sicile de la calabre – pied de la botte.

Une journée bien remplie, des souvenirs plein les yeux. Et de beaux rêves en perspective.

7 septembre – Gorges de Tiberio – Pollina

7 septembre – Gorges de Tiberio – Pollina

Ce matin nous partons pour les gorges de Tiberio. Présentées comme une promenade en barque sur des eaux limpides et baignade dans des baignoires naturelles. La réalité est moins paradisiaque… La chaleur de l’été a asséché la rivière.. Il ne reste qu’un fond d’eau assez saumâtre, noire dans les gorges et verte ailleurs. Les baignoires sont devenues lavabo ! Y aller, oui, au printemps, ce doit être magnifique. Personnellement, j’ai eu l’impression d’être au bord de l’Ardèche, en fin d’été. Heureusement, le trajet était sympatique à travers les collines et la balade en bateau gonflable avec charlotte, casque et masque, amusante. Chat échaudé craint l’eau froide, pour ceux qui ont fait le voyage à la Réunion avec moi, je me suis équipée d’une pochette téléphone étanche ! Ce fut tout de même une sortie agréable.

L’après-midi, c’est décidé : cap sur Pollina qui nous nargue du haut de la colline. Un petit travail d’étude des transports en commun du coin et nous voilà partis à pied pour Finale où devrait…. passer un bus pour Pollina. Internet prévoit 14h20, aucune indication sur l’arrêt de bus, les gens du coin nous disent 15h. Bah, attendons. Finalement le voilà à 14h20 ! Bravo Internet. Nous sommes fiers de la réussite de notre entreprise ! A nous Pollina.

Le chauffeur du bus prend soin de nous, il nois prévient quand descendre et nous donne l’heure de rendez-vous pour le retour.

Une vue à couper le souffle. Des ruelles pavées qui mènent tout en haut à un théâtre antique qui domine la vallée des collines. De l’autre côté de la ville, des escaliers qui surplombent la mer. C’est un village perché comme il y en a beaucoup en Sicile. Nous n’aurons peut-être pas l’occasion d’en voir d’autre alors ça valait le coup d’y monter.

Le bus nous redescend à l’heure convenue et nous dépose tout près de l’hôtel pour nous eviter le retour depuis finale. Trop sympa ce chauffeur.

Maintenant, quand je regarde Pollina depuis notre hôtel, je n’ai plus cette frustration de la voir si près sans pouvoir l’atteindre. Je revois la vue, les ruelles et je lui souris. La nuit elle scintille de mille lumières en haut de sa colline. Clin d’oeil, bonsoir.

6 septembre – journée farniente

6 septembre – journée farniente

Au départ il était question de louer une voiture pour aller visiter les villages alentour. Seulement voilà, il n’y a pas de voiture… A 7km au dessus de nous, le magnifique village perché de Pollina nous nargue. Impossible d’y aller. A pied, trop pentu et 7km aller, pas de bus, encore moins de train. Le staff de l’hotel, pourtant là depuis des années ne sait pas nous indiquer comment prendre un bus ou un train. Rien n’est prévu pour renseigner les personnes qui sortent de la norme « je reste à l’hôtel » ou « je fais les excursions de l’hôtel ».

Bien, ce sera donc une journée farniente. Mer, piscine, soleil, il y a pire comme punition ! Nous avons trouvé un petit restaurant au calme pour manger le midi. Pris nos marques dans ce complexe de vacances trop bruyant pour nous. La piscine, inabordable, trop de familles, de cris, pas de transat libre. Ce sera la mer, son sable noir volcanique, ses parasols tranquilles. Et une promenade dans les hauteurs pour se dégourdir les jambes.

L’Italie a cela de bien, que sans voiture on ne peut rien faire, avec, on ne sait jamais où la garer et elle est interdite dans la plupart des villes touristiques !

Une journée sans programme, pour nous qui ne savons pas nous arrêter. Une journée pour faire tomber la pression, pour s’ennuyer. Une journée pourtant qui a passé bien vite.

5 septembre – Cefalù

5 septembre – Cefalù

Le petit village à côté de l’hôtel s’appelle Finale. On peut y aller à pied en empruntant une ancienne route reconvertie en voie verte. Masque sur le nez, nous visitons. Finale domine la falaise et offre donc de jolis points de vue. En dehors de ça, c’est un village tout simple, avec son ancienne tour de guet et ses vieux sur un banc à l’ombre !

Bref, tout ça pour dire que Cefalù nous y allons l’après-midi. En plus des affaires habituelles, ne pas oublier de prendre son masque. Visiter une ville hyper touristique avec un masque par 30 degrés, n’est pas chose facile. On étouffe vite…. Cefalù est une très jolie ville du moyen âge, construite sous le rocher en forme de tête (céphale) qui servait de repère au marins. On ne s’y perd pas, ses ruelles sont tracées en perpendiculaire ; soit elles montent vers la cathédrale (nord sud) soit elles amènent vers la mer (est ouest). Il y a dans la ville un antique lavoir très particulier et bien entendu, une cathédrale. Construite par les byzantins comme une mosquée, puis adaptée par ces mêmes constructeurs pour faire plaisir à chaque religion. L’époque était plus tolérante que la notre… La grande rue qui descend vers la mer débouche sur une porte donnant sur la plage. Il y a une vie grouillante sur cette plage et dans l’eau. Les enfants et les jeunes, sautent, plongent, crient. C’est l’Italie. Tout le monde parle fort. On remonte par une autre rue en mangeant une glace (c’est l’Italie tout de même), le masque à la main.

4 septembre – Envol vers la Sicile

4 septembre – Envol vers la Sicile

Jusqu’au dernier jour ce voyage pouvait être annulé. Et ça y est, nous partons mon homme et moi. Il est très tôt ce matin, les valises sont bouclées, les masques dans le sac. C’est notre 1er voyage covid à l’étranger. Et la Sicile, c’est l’Italie. Et l’Italie a pris cher au printemps. Restons sereins, les vacances, le soleil vont nous faire du bien. Et on sera prudents… Alors, allons, y. Comme si de rien n’était, ou presque ! Il fait beau ce matin, on profite du lever 🌅 de soleil en roulant vers l’aéroport, les couleurs du ciel sont magnifiques. 1ère prise de température avant l’enregistrement. Très dérangeant qu’une personne vise votre front avec un pistolet … Il fait si clair aujourd’hui que l’on peut suivre le trajet de l’avion tout le long du voyage. Le plan de vol nous fait passer tout près de chez moi. Je distingue Bollène au loin, la vallée du Rhône et le mont ventoux qui se détache, majestueux. Puis il est temps d’obliquer vers nice, la corse, et enfin la Sicile qui se profile sous nos ailes. Le stromboli, l’etna. L’avion traverse la sicile nord sud. A l’arrivée à Catane, l’etna impose sa majesté dès le tarmack. 2ème prise de température. L’été est là aussi. Maintenant, nous allons refaire en bus la traversée sud nord ! L’occasion de regarder le paysage de l’intérieur de l’ile. D’abord les champs de pistachiers (enfin je suppose, j’ai lu que c’est la spécialité du coin et il y a des champs à perte de vue !), puis des terres vallonnées jaunies de la sécheresse de l’été. Pas un point de verdure, du jaune à perte de vue. Au loin les montagnes. La végétation change quand on les traverse.Elle devient plus fournie, les arbres plus hauts, plus verts. Enfin, la mer se découvre devant nous. D’un bleu profond, des terres rouges et noires de volcan. La côte est fantastique. Des falaises, une eau translucide avec un panaché de couleurs allant du vert au bleu sombre.

Enfin, nous sommes arrivés. 3ème prise de température. nous pouvons enlever nos masques, découvrir nôtre hôtel et prendre un bain de mer.

Aujourd’hui, une certitude, je n’ai pas de fièvre 🤒.