La voix de Graine

Beau chaud et ensoleillé aujourd’hui. Je commence tôt, à 7h, par ma séance de respiration.
Malgré cela, un moral en berne ce matin: la reprise des taches du quotidien, le manque de sommeil dû au changement d’heure, les modifications à faire sur mon site jacquaire … et puis, c’est dur d’être dedans lorsqu’il fait beau dehors!
Pour arranger mon humeur, je passe 1 h 30 chez Darty pour commander des filtres à charbon pour ma hotte aspirante. Il n’y avait pourtant pas grand monde, mais pas d’employés non plus. La prochaine fois, je commanderais directement sur Internet. Je gagnerais du temps.
Après le repas de midi, je fais la sieste sur le canapé. Je suis vannée. Et je n’ai pas envie de faire quoi que ce soit. Par message, ma fille me sollicite pour garder la petite demain. Du coup, je sais ce que je vais faire demain. En conséquence, je dois m’activer. D’abord, une petite séance d’1/4 h de yoga du rire où je me suis inscrite hier soir suite à la conférence sur ce même sujet. A écouter, c’est épouvantable, me dit mon mari qui a laissé les portes ouvertes. Il aurait dû s’enfermer!
Je finis de nettoyer mes vitres. Je termine ma peinture. J’en fais une photo pour les graines, pour mes soeurs et pour ma professeur d’Arts plastiques. Des retours négatifs de cette dernière. A reprendre donc un de ces jours et je ne la mettrais pas sur le blog aujourd’hui.
Ce soir un peu de repassage, et mon site jacquaire m’attend….
Dimanche matin, au bois de Vincennes, il y avait un groupe qui dansait la Rumba. C’était gai, entraînant. Je me serais bien arretée pour me joindre au groupe.

La voix de Lilie

Nouvelle semaine. Nouvel horaire. Que c’est dur une heure de moins à dormir. Une heure de moins parce qu’impossible de s’endormir sous prétexte que la montre affiche l’heure de dormir. Pas envie de m’y mettre. A rien. Je branche pourtant ma séance de sport et je m’y colle. Aujourd’hui je fais tout par obligation. Le cœur n’y est pas. Il fait beau, je suis enfermée. Par la fenêtre me viennent les rires et les cris des voisins qui font la fête. L’odeur du barbecue aussi. Je jetterais bien mon crayon pour me joindre à eux…. Après mon travail je pars promener une petite heure dans la forêt. A l’entrée les forestiers ont abbatus beaucoup d’arbres. Le chemin forestier est à nu. J’ai toujours beaucoup de mal lorsque je vois tout ces abattages. Je ne comprends pas l’utilité, certains arbres ont même été déchiquetés en copeaux. Pourquoi ? Je n’ai rien à dire, ce n’est pas mon métier, mais ces grandes trouées me font peur.

Je termine ma journée en faisant un tour sur mon site pour looker la partie mobile. Je mets encore du temps mais je cherche moins. Il est presque prêt à être présenté au bureau.

Ce midi nous avons fini les restes du pique-nique d’hier. Personne n’a idée de ce que l’on pourrait manger ce soir. Du coup, ce sera quelques pâtes et un bout de fromage. C’est de pire en pire….

Je ne suis pas ton professeur Graine, moi j’aime beaucoup ta lectrice. Elle me parle. Ou plutôt, elle me fait la lecture !